Conseil National du RPR

Conseil National du RPR

Au lendemain de la création du nouveau parti républicain de droite, le Rassemblement pour la République, un Conseil National est organisé sur l'avenir et le programme du parti. Le parti s'est rassemblée dans la grande salle de Fux. La première personne a prendre la parole est le porte-parole du parti, Nicolas Mandragore.


Nicolas Mandragore :

Mes chers amis, merci à tous d'être venu pour ce Conseil National, au lendemain de la création de notre grande famille politique de droite républicaine. Avec la création du RPR, le pays a franchit un nouveau cap. Les francovars ne sont plus des monarchistes béats. Ils ont compris, que le pays n'aurait jamais dû basculer vers une monarchie. Aucun autre régime ne peut garantir toutes les libertés, que la République. IL faut revenir à la République, c'est tout le sens de notre mouvement. Républicains, nous devons nous rassembler pour libérer la Francovie !

Notre parti n'aura pas que vocation à se battre pour la République, il aura un but plus politique, car la République ce n'est pas un combat politique, c'est bien plus grand que cela. Le RPR est une grande famille de droite et de centre-droit. Nous défendrons nos idées, nos valeurs, à chaque fois qu'il sera nécessaire. Nous allons lutter contre l'inaction de la gauche au pouvoir, qui a une fois de plus berner le peuple.

Ce Conseil National aura pour but de présenter les missions du RPR, ses idées, sont programmes, sont avenir. Mes amis Vice-Présidents vous expliquerons tout cela en détails.

Je vous remercie.

Applaudissements de la salle pour Nicolas Mandragore.

La parole est à la Vice-Présidente aux Affaires Educatives, Françoise Pelletier.



Françoise Pelletier :

Mes chers amis, ce jour est très important. Nous allons vous présenter le programme du RPR pour l'avenir de la Francovie. En tant que Vice-Présidente aux Affaires Éducatives, je vais vous dévoiler le programme du RPR en matière d'Education et de recherche. Il faut en finir avec les débats stériles avec les Clans sur les Universités d'Avenirs. Il y a eu un manque de volonté de la part des Clans, même si je comprend que certains n'ont pas les moyens, ou ne veulent tout simplement pas en construire. Il faut que l'Etat retrouve l'initiative sur le sujet. Il doit lancer des appels d'offres, sur plusieurs mois, pour construire enfin ces Universités, qui en plus profiteront à l'économie du pays.

Nous devons aussi mener une grande réforme de notre système éducatif, qui est l'abandon depuis longtemps. Nous devons être à la fois pédagogique avec les élèves, les soutenir, les motiver, avec une baisse des heures de cours et de charge de travail, mais aussi plus strict, pour doter nos enfants du respect de l'autorité, d'un esprit critique. Il faudra que le Haut Conseils des Clans fasse un rapport mensuel sur la situation de l'éducation dans notre pays, le taux de réussite, d'échecs, les zones les plus en difficultés. C'est pourquoi cette réforme contiendra la création de zones d'éducations prioritaires (ZEP), afin d'aider les Clans les plus en difficulté en matière d'éducation.

Nous ne devons pas négliger la recherche, qui est l'avenir de notre pays. Il faut bien le dire, la recherche n'a jamais été une priorité pour l'Etat. Cela doit changer. L'Etat devra soutenir financièrement les recherches technologiques des entreprises qui seront jugées courageuses, bénéfique à l'économie et au pays.

Il faut que l'éducation et le recherche redeviennent des sujets importants, car ils sont trop été méprisés par les différents gouvernements !

Merci à tous !

Applaudissements !

La parole est maintenant à la Vice-Présidente aux Affaires Sociales.


Anne Muller :

Mesdames, messieurs, merci à tous. Si je prend la parole, c'est pour expliquer aux francovars le projet du RPR en matière de santé, d'Affaires Sociales. Il y a quelques mois, le système de santé FILLIN avait été créer. Il n'a malheureusement jamais été mit en place. Le RPR propose de reprendre ce système, qui permettra de simuler, de façon plus réaliste, l'état de santé de nos concitoyens.

Le système est au fond bon, mais quelques modifications doivent être faites. C'est pourquoi, avant de le metre en place, nous proposons de le réformer, en simplifiant le volet sur les remboursements, trop complexe dans l'actuel texte, et aussi diminuer les durée d'absence dû aux maladies.

Nous devons construire un grand hôpital à Micropolia via appel d'offre, qui aura une influence sur le système FILLIN. Nous devons implanter le métier de medecin chez les "personnages", qui aura également une influence sur le système. Tout cela doit être fait dans la réforme du système.

Enfin, le RPR n'est pas absent des sujets sociétaux. Il parait que le gouvernement actuel veut légaliser la PMA, et la GPA. Nous nous y opposons, car cela comporte de nombreux risques. Nous sommes par contre, totalement pour l'IVG, qui est un droit indiscutable de la femme, et que l'Etat doit assurer.

Enfin, sur le mariage homosexuel, nous sommes partagés, c'est pourquoi nous restons pour le moment neutre sur le question.

Le Social, la santé, n'est pas le monopole de la gauche ! Nous démontrons que la droite a aussi des réponses à apporter sur ces sujets !

Applaudissements !

La parole est maintenant au Vice-Président aux Affaires Économiques, Jean-François Maillard.

Jean-François Maillard :

Mes chers amis, le RPR a un projet économique courageux et ambitieux. Il y a un peu moins d'un mois, toutes les entreprises du pays ont été nationalisées. En les circonstances, cela était judicieux et nécessaire. Il n'est certes pas encore l'heure de nationaliser, mais il faut s'y préparer. Nous préconisons le début des nationalisations de certaines entreprises au début de la prochaine législature, en Mars prochain, une petite campagne de nationalisation devra débuter. Nous devons soutenir nos entreprises, créatrices de richesses, d'emplois, fiertés de nos territoires.

Un autre grand chantier, la masse monétaire du pays. Nous encourageons une augmentation de 250,000 R$ de la masse monétaire. Actuelle, celle de notre pays est très basse, trop basse comparé à celles  de nos alliés d'Armara et du Krassland. Cela me sert justement de transition, car cette augmentation permettra de mener une politique ambitieuse de grand travaux, avec plusieurs constructions d'infrastructures, ce qui relancera notre économie à l'heure actuelle atone, comme à chaque fois que la gauche est au pouvoir.

Le Travail doit également être une priorité. Le Travail, c'est bien plus qu'un poste, qu'un rôle, qu'une fonction, c'est une grande valeur qui permet à chacun d'entre nous de se réaliser pleinement. Chacun à droit au travail. C'est pourquoi nous voulons la création de l'Agence Nationale du Travail (ANT), qui aiderai tous nos concitoyens actuellement sans emploi, à trouver un travail. Ceci sera accompagné de créations de centres de formations, pour que les chômeurs se voient offrir un emploi, correspondant à leur formation, qui est un droit à chaque âge de la vie.

Une baisse générale du SMIF est à l'heure actuelle préférable, contrairement à ce que pense le gouvernement qui voulait l'augmenter de 20% ! Mais, nous sommes d'accord avec l'UMPF sur la création d'un SMIF par branche de production. Celui qui travaille plus, doit toujours gagner d'avantage que celui qui fournit moins d'efforts. Nous devons récompenser le mérite, et l'effort !

Enfin, nous devons protéger les entreprises et nos concitoyens d'un matraquage fiscal, qui sera inévitable si nous continuons sur ce chemin. Nous proposons une loi sur la stabilité fiscale, limitant tout impôt sur le capital à 20%, pas plus, ce serait confiscatoire, et cela priverait nos concitoyens de leur liberté économique !

Voilà les grands chantiers économiques qu'il faut mener !

Applaudissements !

La parole est au Vice-Président aux Affaires Régaliennes, Christophe Demarchet.


Christophe Demarchet :

Nous devons rendre notre Francovie plus forte, sur le territoire national comme dans le micromonde. Je vais vous présenter le projet du RPR dans les domaines régaliens, tels la Diplomatie, la Défense, l'Intérieur, la Justice ou les Institutions.

Il faut une Francovie forte dans un Micromonde fort ! Nous devons relancer le projet de l'Alliance de Coopération et de Sécurité (ACS), qui est une idée francovare formidable, malheureusement actuellement à l'abandon. Le RPR propose d'organiser un Sommet à Micropolia pour relance cette Alliance, avec le Krassland et Armara, nos alliés et amis les plus proches.

La Francovie doit rester attentive à ce qu'il se passe au Skotinos et en Laurasie. La Francovie soutiendra la coalition pacifique de Laurasie, et protègera le Skotinos de toute attaque Laurasienne injustifiée. Car nous voulons que la Francovie soit du côté des opprimés du monde, c'est notre message, c'est notre identité, c'est notre histoire.

Il faut mettre fin à la dictature des Société Militaires Privées, qui agissent tels des voyous, des mercenaires. C'est pourquoi il faudra collaborer avec les autres pays pour lutter contre elles !

Alors que Prya semble se réveiller légèrement, la Francovie doit être à ses côtés. Il faudra tout faire pour soutenir Prya, qui doit être une amie proche de notre pays.

Enfin, nous devons nous ouvrir plus au reste du Micromonde. C'est pourquoi nous proposons de nouer des liens avec le Saint-Empire d'Edoran, et avec la CSH, dont nous pouvons nous inspirer en matière d'écologie notamment.

Voilà le projet diplomatique ambitieux du RPR.

Nous devons également assurer la sécurité de nos concitoyens sur le territoire national. C'est pourquoi nous proposons une réforme de la Sécurité, redéfinissant la méthode du calcul de la délinquance et de la lutte contre cette dernière. L'Etat doit garder son monopole sur la sécurité. L'Etat devra acheter du matériel policier, pour faire baisser la délinquance dans les zones du pays les plus sensibles.

Nous devons continuer la modernisation de notre Défense nationale, en procédant à plusieurs appels d'offres et en reprenant le Livre Blanc de la Défense.

Enfin, nous devons changer notre Justice. Nous proposons un retour au système de la Cour Suprême au lieu de la Cour des Sages, ce qui est différent dans le fonctionnement. Il faut créer des jurys populaires, pour donner à nos concitoyens, sur la base du volontariat, des responsabilités.

Nous devons créer une loi organique sur le déroulement de procès, qui servira aux Juges pour le mieux possibles arbitrer le déroulement des procès.

Un immense chantier institutionnel est également à mener. Il faut une réforme profonde de la Charte.

Il réforme les Conseils Locaux, redéfinir plus clairement leurs pouvoirs, leur rôles, leur influence par rapport à l'Etat et aux Clans.

Il faut, et c'est une mesure courageuse, allonger la durée des mandats électoraux à 3 mois. Deux mois, cela n'est pas suffisant, pour permettre à ceux qui sont au pouvoirs d'avoir une vue à long terme, de pouvoir mettre en place, sereinement, leur politique.

Il faut enfin, un retour à la République ! Et je vais laisser le soin à notre Président, Vincent Lacombe, vous expliquer, pourquoi nous sommes républicains !

Applaudissments !