Antoine de CarpentierMesdames, Messieurs mes chers collègues,
Alors, nous y sommes, la censure est là, le centre à lâché le gouvernement. Nous pouvions nous y attendre, c'était prévu.
Toutefois, pouvons nous risquer la dissolution alors que les dernières élections furent il y a une semaine et demi? Devons-nous aller à l'élection quand le pays a besoin d'unité pour se remettre à flot?
L'ambassadeur François Bogendorfer à réussit, avec peine, d'expliquer notre situation au Micromonde. Il l'a fait de façon a justifier notre puissance, notre stabilité qui est reconnue. Devons-nous tout détruire pour un changement de cap relatif à un parti sur cinq?
Le changement de cap du RCF est louable, mais je pense avant tout à la Francovie. Je pense que ce gouvernement a un travail à mener et que le Parlement joue , aujourd'hui, un rôle important.
Provoquer des élections? Ce serais stopper le processus législatif. Ce serais mettre en stand-by la Francovie quand il faudrait avancer.
Bref, l'UMPF est certes opposant, mais nous sommes opposants responsables. Nous ne voterons pas la censure du gouvernement.
Toutefois, que le gouvernement l'entende, nous n'offrons pas un chèque en blanc. Nous attendons une contre-partie forte avec un abandon de certaines mesures qui auraient divisés les Francovars. Nous attendons aussi un cap fort de ce gouvernement.
C'est donc un avertissement plus qu'une censure que nous adressons au gouvernement.
A la politique de l'instant, nous préférons la stabilité.
A la politique de l'émotion, nous préférons la responsabilité.
11 voix contre la Censure.